des documentaires et d'autres sources d'informations...http://www.docusdunet.net/shaarli/http://www.docusdunet.net/shaarli/http://www.docusdunet.net/shaarli/Fin de concession (Pierre Carles) - Nemesis TVhttp://www.docusdunet.net/shaarli/?YTNa_w(2010)<br />
La privatisation de TF1 disséquée par Fin de concession. Première enquête audiovisuelle sur « un immense scandale», le film revient sur l’environnement médiatique d’aujourd’hui, la censure, le pouvoir, le contre-pouvoir. <br />
Dix ans après Pas vu pas pris, Fin de concession interroge les caciques de l’audiovisuel grâce à la pugnacité d’un journaliste latino-américain, Carlos Pedro, aux faux airs de Pierre Carles, « juste un peu plus barbu, avec de grosses lunettes ».<br />
Les rapports de Nicolas Sarkozy avec le groupe Bouygues, les médias, les industriels y sont largement disséqués.<br />
Xavier Frison, dans Politis, n°1084.<br />
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Fin de Concession part de deux constats. De un, il n’existe aucun documentaire de fond sur les rapports entre Nicolas Sarkozy et les médias. De deux, il n’existe pas non plus de documentaire sur la façon dont un immense groupe de BTP a pu faire main basse sur la première chaîne publique française. C’est quand même quelque chose d’incroyable : en 1987, le groupe Bouygues a littéralement acheté l’accès à un téléspectateur français sur deux ! Mais il n’a respecté aucune des promesses faites lors de l’octroi de cette concession. À tel point que celle-ci aurait pu être annulée, en 1994, si la loi Carignon n’avait pas rendu son renouvellement à peu près automatique.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?YTNa_w">Permalink</a>)Volem Rien Foutre Al Pais Pierre Carles DOC - YouTubehttp://www.docusdunet.net/shaarli/?ozH2UgDans cette guerre économique qu'on nous avait promise il y a bien des années et qui avance comme un rouleau compresseur, existe t-il encore un sursaut d'imagination pour résister ?<br />
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Mis en demeure de choisir entre les miettes du salariat précaire et la maigre aumône que dispense encore le système, certains désertent la société de consommation pour se réapproprier leur vie.<br />
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"Ni exploitation, ni assistanat !" clament-ils pour la plupart. Ils ont choisi une autre voie, celle de l'autonomie, de l'activité choisie et des pratiques solidaires...<br />
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communautés recherchant l'autonomie des besoins:<br />
1. un habitat basé sur des bottes de paille comme matériau de base, comparaison de coûts...<br />
2. les toilettes sèches au compost : une possibilité de dépolluer les cours d'eau à hauteur de 40% dans les campagnes<br />
3. alimentation en eau depuis la rivière en contrebas et un mécanisme de pompage sans énergie induite<br />
4. exemple d'une communauté réunissant des personnes ayant tourné le dos à l'assurance retraite<br />
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indépendance énergétique du foyer : comment « décrocher » le compteur EDF<br />
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Mouvement Okupa à Barcelone (occupation de logements laissés durablement vacants)<br />
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collectif Dinero gratis à Barcelone (prônant l'escamotage de denrées alimentaires dans les grands magasins de centre-ville par le biais de happenings)<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?ozH2Ug">Permalink</a>)▶ BOURDIEU "SUR LA TÉLÉVISION" - Vidéo Dailymotionhttp://www.docusdunet.net/shaarli/?iXqN0gSur la télévision est un livre de Pierre Bourdieu retranscrivant le contenu de deux émissions télévisées de Gilles l'Hôte : Sur la télévision et Le champ journalistique, réalisées et diffusées en 1996, dans le cadre d'une série de cours du Collège de France. Sur la télévision est suivi d'un article reprenant les mêmes thèmes de façon plus abstraite et plus précise : L'emprise du journalisme.<br />
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BOURDIEU "SUR LA TÉLÉVISION"<br />
envoyé par MELMOTH<br />
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Dernière mise à jour : 06-03-2008 17:37<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?iXqN0g">Permalink</a>)Pierre Carles : Ni Vieux Ni Traitres - Nemesis TVhttp://www.docusdunet.net/shaarli/?TtJWqQNi vieux, ni traîtres, (coréalisé par Pierre Carles et Georges Minangoy), 2006, consacré à Action directe, groupe activiste d'extrême gauche.<br />
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Action directe (AD) est un groupe clandestin (aux influences initialement anarchistes mais qui s'est distancié de cette idéologie pour épouser la cause marxiste-léniniste (communiste)) empruntant leur nom au principe anarchiste de la théorie politique libertaire de l'action directe. Ils ont revendiqué une cinquantaine d'attentats ou d'assassinats sur le territoire français entre 1979 et 1987. Action directe a été interdite par un décret du 19 août 1982 prononçant la dissolution de l'organisation pour activités terroristes.[réf. nécessaire] Ses membres ont été jugés par une formation spéciale de la cour d'assises de Paris.<br />
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Action directe est le résultat de la fusion des membres des GARI (Groupes d'action révolutionnaire internationalistes) qui ne voulaient pas ranger les armes après la mort de Franco et des NAPAP (Noyaux armés pour l'autonomie populaire), qui aboutit en 1977 à la création d'une « coordination politico-militaire interne au mouvement autonome ». Cette coordination se transforme en 1979 en une « organisation de guérilla » qui commence alors à revendiquer ses attaques sous le nom d'Action directe, expression empruntée à l'anarcho-syndicalisme du début du XXe siècle mais avec laquelle la pratique d'AD n'a rien à voir, au nom de la lutte contre l’impérialisme capitaliste, des symboles de la puissance de l’État, le grand patronat et la défense du prolétariat. Ils ne font alors que des dégâts matériels. Plusieurs de ses membres sont arrêtés et emprisonnés.<br />
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Après l'élection de Mitterrand en 1981 le nouveau gouvernement joue l'apaisement et amnistie les condamnés. La majorité des militants renonce alors à la violence, abandonnant jusqu'au nom et au sigle d'Action directe mais une minorité (regroupée en une branche parisienne et une branche lyonnaise) choisit de passer à la lutte armée. À partir de 1984, la branche parisienne Action directe s'allie à la Fraction armée rouge dans le cadre de la stratégie d'« unité des révolutionnaires en Europe de l'Ouest », la branche lyonnaise se tournant vers l'attaque de banques et des attaques contre des objectifs israéliens.<br />
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Action directe ou des membres d'AD ont notamment participé :<br />
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* au mitraillage du siège du patronat le 1er mai 1979 ;<br />
* au hold-up de Caluire le 29 octobre 1980 au cours duquel un convoyeur de fonds est tué ;<br />
* à des attaques contre des ministères, la Sonacotra, des agences immobilières, des bâtiments de l'armée française, des sociétés liées au programme militaire français ;<br />
* à des attaques contre l'État israélien (mitraillage de la mission commerciale de l'ambassade d'Israël, le 31 mars 1982, attaque à la bombe contre le Citrus Marketing Board of Israel, le 11 août de la même année[3]) ;<br />
* à l'assassinat le 13 mars 1982 de Gabriel Chahine, membre du GARI et indicateur de police qui avait permis la première arrestation de Rouillan et Ménigon en 1980 ;<br />
* à l'assassinat de deux policiers (en blessant un troisième grièvement) avenue Trudaine à Paris le 31 mai 1983 ;<br />
* au hold-up de l'avenue de Villiers à Paris le 14 octobre 1983 au cours duquel un des participants, Cino Rizzato, est tué ;<br />
* au hold-up de la place Victor-Hugo à Lyon le 27 mars 1984 où le général de gendarmerie Guy Delfosse est tué en tentant de s'interposer ;<br />
* à l'assassinat du général Audran (responsable des ventes d'armes de l'État français) le 25 janvier 1985 ;<br />
* aux tentatives d'assassinat manquées sur Henri Blandin (contrôleur général des armées) en 1985 et Guy Brana (vice-président du CNPF, ancêtre du MEDEF) en 1986 ;<br />
* à l'attentat à la bombe le 9 juillet 1986 à Paris dans les locaux de la brigade de répression du banditisme, quai de Gesvres, dans lequel l'inspecteur Marcel Basdevant est tué ;<br />
* à l'assassinat de Georges Besse, PDG de la Régie Renault le 17 novembre 1986. C'est en tant que représentant d’une entreprise à vocation internationale que Georges Besse est tué, mais également en tant que dirigeant d'une entreprise employant un vigile qui a tué un militant maoïste Pierre Overney. Toutefois, le journaliste d'investigation Dominique Lorentz, a mis en cause la question de l'assassinat de Besse, en soulignant la proximité de cette affaire avec Eurodif, que Besse avait dirigé, et le programme nucléaire iranien (à laquelle la France participait alors)<br />
* à de nombreux vols à main armée n'ayant pas entrainé mort d'homme et revendiqués par le groupe comme des « expropriations prolétariennes ».<br />
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Plus globalement, ce groupe a été l'expression en France d'un courant se revendiquant du marxisme et défendant l'idée que les actions violentes étaient un moyen légitime de renverser un régime considéré comme oppressif. Durant ce qu'on a appelé les « années de plomb », de nombreux groupuscules ont repris l'idéologie de la « propagande par le fait » prônée par certains militants anarchistes lors des deux dernières décennies du XIXe siècle : la Fraction armée rouge (ou « Bande à Baader ») en Allemagne occidentale, les Brigades rouges en Italie, Armée rouge japonaise au Japon, 17-Novembre en Grèce, IRA en Irlande, Cellules communistes combattantes en Belgique, ETA au Pays basque, Weathermen aux États-Unis, MLSBP et Devrimci Sol en Turquie, etc.<br />
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Le 21 février 1987, les principaux membres d'Action directe, Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Joëlle Aubron, et Georges Cipriani ont été arrêtés dans une ferme au gué Girault, lieu-dit de la commune de Vitry-aux-Loges, dans le Loiret. Ils ont été tous les quatre condamnés (tout comme Régis Schleicher, arrêté en 1984) à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine incompressible de 18 ans.<br />
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La peine de Joëlle Aubron a été suspendue en juin 2004 pour raisons de santé. Elle est décédée à Paris le 1er mars 2006 d'une tumeur au cerveau. Jean-Marc Rouillan tient une chronique sur l'univers carcéral dans le journal CQFD. Les demandes de libération anticipée de Régis Schleicher et de Nathalie Ménigon ont été jusqu'à maintenant repoussées par le tribunal de l'application des peines. Nathalie Ménigon a été victime en prison de deux accidents vasculaires cérébraux qui l'ont laissée partiellement hémiplégique.<br />
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Fin mars 2007 une pétition de 6 500 signatures pour la libération des détenus d'Action directe a été apportée au ministre de la Justice Pascal Clément (UMP).<br />
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Le 10 mai 2007, le tribunal d'application des peines de Paris a accordé un régime de semi-liberté à Nathalie Ménigon, emprisonnée depuis 1987. Elle travaillera la journée et retournera dormir en prison, mais le parquet a immédiatement fait appel de cette décision. Le jeudi 19 juillet 2007, la chambre d'application des peines de la cour d'appel de Paris lui a finalement accordé le regime de semi-liberté.<br />
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Nathalie Ménigon, à qui un régime de semi-liberté a été accordé à partir du 2 août, a été transférée mardi 24 juillet 2007 du centre de détention de Bapaume (Pas-de-Calais) à la maison d'arrêt de Toulouse-Seysses.<br />
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Jean-Marc Rouillan obtient un régime de semi-liberté à partir du 17 décembre 2007.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?TtJWqQ">Permalink</a>)Pas De Calmants Pour Jeanne ... - Vidéo Dailymotionhttp://www.docusdunet.net/shaarli/?N-VdewDocumentaire de Pierre Carles, pour l'émission Strip Tease, 1996.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?N-Vdew">Permalink</a>)Juppé, forcément… - Réalisation Pierre Carles - Vidéo Dailymotionhttp://www.docusdunet.net/shaarli/?bFG66wJuppé, forcément est un film documentaire de Pierre Carles. L'auteur y questionne les évidences et met à nu ce qu'il présente comme de faux débats sur les élections de 1995 dans la commune de Bordeaux. Il montre comment, selon lui, les journalistes régionaux font preuve de fidélité au candidat Alain Juppé alors ministre des Affaires étrangères. Il cherche à montrer l'injustice d'un processus électoral vicié par une propagande qui semble des plus habituelles. Suite à ce reportage, Pierre Carles serait devenu persona non grata auprès des rédactions du journal Sud Ouest et de France 3 Aquitaine.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?bFG66w">Permalink</a>)▶ Pas vu pas pris de Pierre Carles (video en entier) - YouTubehttp://www.docusdunet.net/shaarli/?8yN42QPas vu pas pris est un film français (1998), premier volet de la trilogie de Pierre Carles consacré aux médias et plus particulièrement au fonctionnement interne de Canal+ et des grands médias nationaux. Le documentaire montre les relations qu'ont les vedettes du journalisme avec les hommes politiques, et dénonce la "fausse impertinence de certains journalistes".<br />
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Pas vu pas pris n'a jamais été diffusé à la télévision; il relate l'histoire d'un autre documentaire Pas vu à la télé, lui-même commandé, puis censuré par Canal+. En mars 1998, Charlie Hebdo et Gébé fondent l'association « Pour Voir Pas Vu » pour lever les fonds nécessaires à la projection du film Pas vu pas pris au cinéma. Ils réussiront à récolter 600 000 FF. La première projection aura lieu le 18 novembre 1998.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?8yN42Q">Permalink</a>)▶ La Sociologie est un sport de combat 2002 Bourdieu - YouTubehttp://www.docusdunet.net/shaarli/?xkNLPALa sociologie est un sport de combat est un film documentaire français sorti en 2001. C'est le deuxième volet de la trilogie sur les médias de Pierre Carles. Dans le premier volet, Pas vu pas pris, l'auteur mettait à nu les « cuisines des grands médias français » et leurs liens « incestueux ». Dans Enfin pris ?, Pierre Carles prendra comme exemple le journaliste Daniel Schneidermann (Arrêt sur images, France 5) en tentant de mettre en lumière des mécanismes de censure et de montrer l'effet nocif de la médiatisation sur les journalistes eux-mêmes. Selon le réalisateur, ce film est aussi une tentative de faire connaître la sociologie, et plus particulièrement les travaux de Bourdieu, au grand public[1].<br />
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source : Wikipedia<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?xkNLPA">Permalink</a>)▶ Enfin pris ? -Documentaire - YouTubehttp://www.docusdunet.net/shaarli/?sJqsrgEnfin pris ? est un film français (2002), troisième volet de la trilogie médiatique de Pierre Carles. Enfin pris ? montre la face cachée de l'émission de télévision Arrêt sur images. Ce film est la suite de Pas vu pas pris et de La sociologie est un sport de combat.<br />
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Pierre Carles cherche à illustrer ce que dit Pierre Bourdieu dans son livre Sur la télévision, c'est-à-dire que la télévision ne peut pas critiquer la télévision car les conditions de production des émissions favorisent les habitués de la télévision, de façon pas nécessairement consciente, en dépit d'une volonté de neutralité affichée.<br />
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Il prend pour exemple le passage de Pierre Bourdieu à l'émission Arrêt sur images et la polémique qui s'ensuivit entre le sociologue et l'animateur Daniel Schneidermann. L'ambition d' Enfin pris ?, plus que d'épingler un journaliste, est de tenter de présenter une réflexion sur la structure même du débat télévisé ; la présentation du film parle elle-même d'une « réflexion sur la manière dont le pouvoir change les gens, sur les ressorts intimes de l’ambition et de la fidélité ». Dans la dernière scène (chez le psychanalyste) l'auteur va au-delà de ses doutes et de ses certitudes et par là même met en perspective son travail par rapport au champ médiatique tel qu'il est constitué.<br />
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L'aspect pamphlétaire de ce film a été critiqué, les règlements de comptes personnels étant au cœur des dénigrements à l'encontre de ce film. Néanmoins, les personnes visées, qui se présentent comme des critiques de la télévision et des médias, ont matière à contradiction.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?sJqsrg">Permalink</a>)Attention danger travail - Pierre Carles 2003 Documentaire - YouTubehttp://www.docusdunet.net/shaarli/?GwTt0QRéflexion sur l'évolution de la notion de travail, de ses formes et de son intérêt.<br>(<a href="http://www.docusdunet.net/shaarli/?GwTt0Q">Permalink</a>)